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 Katherine H. Bailey

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AuteurMessage
Katherine H. Bailey
Katherine H. Bailey
« Les apparences . . . »
♦ Messages : 1591
♦ Avatar : Nina Dobrev
♦ Âge : 216
♦ Citation : L'homme est composé d'hostilité, de luxure, de violence et de compassion, d'amour, de tendresse. (Star Trek)

« . . . sont parfois trompeuses ! »
♦ Je fais partie: du Clan Blackwood.
♦ Demandes de RP: Ouvertes ✔
♦ Hors-jeu, vous pouvez m'appeler: Lau'
Get Ready, You Won't Escape Unhurt.
Fondatrice

Katherine H. Bailey Vide
MessageSujet: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 19:18

Katherine - Bailey
____ feat. Nina Dobrev

[X] Prédéfini - [ ] Inventé
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Age physique & réel : 20/ 215 ans.
Date de naissance & de "mort" : 1795-1715
Régime alimentaire :
Carnivore Very Happy
Vampire ou Hybride : Vampire
Statut : Dans le clan Blackwood.
C'est l'histoire de ma vie

Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ma vie humaine. Ce qui est des plus troublant, c’est que ceux dont je me souviens sont parfois d’une précision déroutante. La mémoire est humaine et l’humanité n’a aucun sens, autrement dit je ne vais pas chercher plus longtemps à comprendre.
Je m’appelle Katherine Helena Bailey, je suis née en 1795, le 14 aout pour être exacte. Je le sais car je l’ai vu, quelques années après ma mort, sur ma pierre tombale.
Mes parents se nommaient John et Annabeth Bailey, deux personnages de la haute société, froid et chaud à la fois. Je me souviens de ma gouvernante, Nancy. Ma mère l’avait embauchée parce qu’elle m’avait un jour retrouvée lorsque je m’étais perdue dans la foule de touriste qui affluait à Londres, capitale où nous vivions alors. Nancy était une jeune femme, une paumée disait souvent ma mère, sans métier mais avec un cœur d’or. Elle avait crié le nom de mes parents, encore et encore, jusqu’à ce que ceux-ci, fous d’inquiétude, aient fendis la foule pour me recouvrir de baisers. Nancy vivait dans la rue, alors ma mère l’avait accueillis chez nous, nourrie et logée en échange de son travail de nurse et d’aide ménagère. Nancy était toujours joyeuse, même lorsqu’elle avait le dos courbé par le travail. Même lorsqu’elle avait les yeux attristés de ne pas pouvoir danser dans les bras d’un gentleman. J’ai vu Nancy murir tout comme elle m’a vu grandir: elle était une jeune femme pleine de rêve, triste et belle, puis elle est devenue le visage aux rides prématurés, au sourire de fierté et au caractère dur qui m’a appris à ne pas pleurer pour ce que l’on ne possède pas, mais de sourire en pensant à ce que l’on possède. Je sais que vous pensez que je suis une de ces gosses de riches qui n’avaient pas de parents dignes de ce nom, mais c’est faux. Mes parents étaient de très bonnes personnes. Ma mère était une femme orpheline et pleine de conviction humaine, elle s’était battue pour la justice et pour protéger les pauvres des impôts injustifiés, elle défendait son avis pour l’indépendance des colonies. Elle était forte, indépendante et totalement allergique aux idées sur le pouvoir masculin. Mon père lui était un peu moins riches, un peu plus détruit. Il avait perdu beaucoup de popularité lorsqu’il avait décidé de se lancer dans les causes perdues, celles des perdants et des endurants qui s’étaient fait détruire par des dominants jamais punis pour autant. Il était trop sensible, il était acharné mais aussi quelqu’un de si doux et charismatique qu’il était difficile de lui refuser un baiser. Ma mère et lui s’étaient rencontrés lors d’un bal de charité, une fête de haute classe sociale. Il l’avait remarqué et invité à danser, tout comme il aurait invité n’importe qu’elle autre femme, il lui avait servit son sourire éclatant de charmeur et elle avait accepté avec méfiance. C’était ce qui lui avait plu, elle avait ce regard fort et méfiant qui semblait le défié d’essayer. Ils avaient dansé plusieurs danses, leur corps éloigné par la proximité prescrite par leur grade et leur élégance, se rapprochant et semblants s’envolés sous les vagues de la musique virevoltante et frivole. Et ils ne s’étaient plus jamais quittés et désormais c’était ensemble qu’ils combattaient pour leur cause. C’était pour ces causes que je ne les voyaient pas tout les jours et que c’était Nancy qui m’apprenait mes leçons, mais jamais je n’ai trouver cela négatif. Certes ils me manquaient, mais j’aimais l’idée de mes parents super héros et si populaire à qui les gens dans la rue voulaient toujours faire la conversation. Je me disais, rêveuse, que plus tard moi aussi je serais une super héroïne qui protègerait les âmes généreuses.
Je me souviens que je trainais toujours avec les enfants riches de mon école privée, mais aussi avec les plus pauvre qui voulaient joués avec nous. J’avais toujours de l’énergie à revendre et j’étais très vivante, j’attirais les gens. J’avais une tonne d’amis et j’avais un ou deux ennemis, ceux qui me repoussaient naturellement par leurs mauvaises manières et leur égoïsme.
Et j’avais Lulu. C’est-ce dont je me souviens le plus de mon enfance, alors que ce n’est pas du tout le plus important: c’était mon nounours, mon doudou. Il était un peu déchiqueté par mon chat et usé par son âge. Il était bleu et avait les yeux mauve, il avait mes initiales, K.H.B, en rouge sur son ventre et il avait des petites dents pointues. C’était mon ami confident et mon ami câlin, et même si il n’a aucune vraie valeur en matière de souvenir, il reste encré dans ma mémoire comme un personne à part entière de ma famille.
J’ai grandis et je me suis peu à peu éloigné de mon projet de futur altruiste, je me suis laissée gagnée par un espoir plus personnel. Mes parents étaient moins heureux, ils étaient plus absents, ils étaient plus usés. Le rêve s’était éteint dans leur yeux, ils avaient compris que le monde ne pourrait jamais être sauvé, je l’ai compris en même temps. Nancy s’est mariée et à eu des enfants. Son mari et elle possédaient un petit appartement . Nancy ne pouvant plus s’occuper de moi et j’ai appris à me débrouillée seule, cela ne me gênait pas, pas vraiment. J’étais rarement chez moi, et si je l’étais c’était pour peu de temps et avec une occupation précise. Je passais mon temps avec les gens, j’aimais être entourée. Et surtout, j’aimais être aimée. Je connaissais mon pouvoir de séduction, mon humour, ma joie de vivre et le faite que resté avec moi était perpétuellement agréable. Je savais donc me faire de nouvelles connaissances chaque jour, et je n’ai pas de souvenirs de m’être un jour ennuyer. J’étais la miss parfaite, le modèle populaire, sage et joueuse. J’ai peu de souvenirs, tout comme la plupart de ma vie humaine, mais je me souviens que, tout comme aujourd’hui, j’adorais les bals, les fêtes, les bonnes manières. J’étais une élève modèle sans aucun problème, sans même une once d’efforts, ce qui d’ailleurs à fait que ce ne m’est pas d’un grand intérêt, s’il l’on ne travaille pas, quelle fierté en tirons-nous? Soit, je pouvais alors me permettre de sortir pour ainsi dire tout les soirs. Je dansais, virevoltais, dans les bras d’une tonnes de jeunes hommes qui jamais ne faisaient battre mon cœur. Parfois je me souviens mettre mise à rêver d’un homme qui aurait ce petit plus qui me ferait chavirer, tout comme ma mère méfiante avait fondu devant mon père charmeur.
Lorsque j’eus 18 ans, mes parents m’inscrivirent à l’université de Cambridge et m’achetèrent une petit maison coquette près de celle-ci, dans une ville peu connue que vous connaissez désormais sous le nom d‘Everstown. Je continuais cependant ma vie comme avant. Avec un petit plus. Il y avait, je crois car mes souvenirs sont plus flous encore, une confédération secrète. J’ignores de quoi elle parlait, je ne m’en souviens plus mais je sais que pour moi à l’époque c’était une véritable ânerie. C’était un jeune homme fou amoureux de moi qui m’y avait fait entré, le voir se plier en quatre pour moi m’avait fait plaisir, je n’avais pas oser le lui refuser. Ce qui m’intéressait c’était l’idée de rassemblement secret qui, par notre jeune âge et l’époque, rimait avec bal, festivité et rites fous. J’aimais assez l’idée, je l’avoues.
Un jour le conseil avait décider de faire un bal masqué, à la seule lumière de la lune. Evidement cela ne pouvait que me plaire, je dirais même que je n’avais jamais mis autant d’énergie à être belle et soignée pour un soirée. Je crois me souvenir d’une sensation qui m’avait emplie ce jour-là, le sensation de plaisir lorsque, entrant dans le parc, les yeux curieux et languis me scrutaient, tentant parfois même d’attirer mon attention. Mais je n’avais d’yeux que pour un jeune homme au fond près d’un arbre. Il était d’une beauté exquise et, même caché sous un loup, l’on pouvait deviner ses traits fins et délicat. Sa blancheur donnait à sa peau une allure resplendissante et, lorsqu’il me vit, son sourire en coin me fit un instant perdre la tête.
A partir de ce moment là, précisément, tout sembla accélérer et, même si j’arrives à vous comté ce récit, je n’ai pas beaucoup de souvenirs imagé de cette nuit-là. Je me souviens que, faible humaine, j’étais tombée sous le charme de la créature. Je me souviens n’avoir regarder que lui alors que je valsais dans les bras d’inconnus. Lui, restait adossé à son arbre, n’adressant qu’un regard amusé aux femmes qui le dévorait des yeux. Je me souviens m’être dite qu’il viendrait me proposer une danse si je restais assise à sa vue. C’était calculé, ce qui me changeait, j’étais si impulsive, si peu calculatrice habituellement. Mais je voulais qu’il m’invite. Après que j’ai eu refusé plusieurs danses, il rompu son immobilité parfaite et marcha vers moi. Mon cœur battait si vite que j’avais l’impression que tous pouvait l’entendre, pourtant il continuait d’avancer d’une démarche élégante et décontractée. Je ne sais plus à quoi il ressemblait, je ne sais plus sa voix, je sais juste que je l’ai suivit, seule, malgré le faite que je savais cela inconvenable et dangereux. J’ai accepté le verre de vin, malgré le fait que je n’avais que 20 ans. Je me souviens que je trouvais le goût fort acre mais que, n’ayant jamais bu d’alcool, je m’étais forcé de vidé le verre par politesse. Ensuite, alors que je voulais me retourner vers l’inconnu pour lui demander son nom avec mon sourire le plus charmant, une douleur me transperça. Une douleur venant de mon cou et qui, bientôt, avait afflué dans chaque partie de mon être. Je restais pétrifiée par la souffrance, aveuglée par ma torture, j’aurais voulu, simplement, ne pas être éveillée. Après deux jours qui m’avait semblé interminable la douleur avait disparut et je retrouvais mes moyens. J’ai rapidement pris compte que j’étais totalement seule, abandonnée dans un coin reculé. Ensuite j’ai remarquer que je n’étais plus la même, que je ne le serait plus jamais. Cependant je ne le pris pas comme une mauvaise nouvelle car, en apercevant mon reflet, j’ai vu que j’étais plus belle encore, d’une beauté irréelle même: mon teint était blanchis, mes traits plus affinés, ma silhouette un peu plus élégante, je me trouvais parfaite…Parfaite mis à part mes cernes, le rouge dans mes yeux et mes crocs lancinants. J’avais si soif! Un instinct nouveau me poussait à tuer.
Je parcourus Londres et les alentours, toujours avec la même idée: charmer pour tuer, tuer pour boire, boire pour survivre, survivre pour charmer. Un cercle vicieux s’était installé dans ma vie , si l’on peut appeler cette existence comme telle. Je n’avais pas de pitié en tuant, je n’en ai toujours pas. Je n’en avais pas alors que, dans un lieu reculé, je voyais les yeux amorphes de mes victimes se transformer en un regard d’horreur et de supplis. J’aimais jouer avec les cœurs, les encercler en les attirants dans mes filets pour mieux me délecté. J’avais perdu tout sens d’humanité, d’attraits bienfaisant. A quoi cela me servirait donc?!
J’étais encore jeune lorsque je fis la rencontre de Stefen Prince. C’était la troisième victime de ma manipulation. C’était une façons pratique pour rester dans la même ville pendant un instant: ne pas tuer mais se nourrir. Je buvais régulièrement un peu de son sang en lui promettant un futur eternel et magnifique. Ce n’était pour moi qu’un autre humain naïf mais délicieux. Je comptais le manipuler encore un an puis disparaitre mystérieusement, gavée et amusée. Sauf que le jeu dérapa, je ne sais plus exactement quand, exactement pourquoi et encore moins comment mais... Je crois bien être tomber amoureuse de lui. Cela aurait peut-être pu être une belle histoire... Sauf que notre amour faisait plus de mal que de bien. Pour la première fois, j'étais dépendante de lui comme lui de moi. Je le voulais près de moi, je rêvais secrètement d'un mariage en blanc... Comme l'humaine que je n'étais plus. Je souffrais de ne pas pouvoir être comme lui, je laisser la part d'humanité enfouie remonter, pour être en peu plus la même. Mais l'humanité apporte avec elle les innombrables regrets et bientôt j'étais effondrée. Tant de choses horribles que j'avais fait! Seigneur pardonnez-moi! Je me dégoutais, je me haïssais. Un vampire, une damnation... Je refusais de me nourrir et tombait malade. Stefen devient aussi triste que moi, il se détestait de me rendre triste, il pleurait de me voir pleurer et j'étais encore plus mal de le voir être mal pour moi. Nous nous installions dans un cercle vicieux... Pendant la nuit, lorsqu'il dormait encore, je m'étais levée. J'avais attraper le premier passant, celui-ci, ébloui par la femme éblouissante et fantomatique dans sa robe de nuit, ne se débattit pas lorsque je mordis son cou chaud. Le lendemain matin j'étais au chevet de mon amant lorsqu'il s'éveilla. J'avais à nouveau abandonner ma faiblesse, j'avais à nouveau arrêter d'avoir des sentiments... Même si j'étais cruelle, il m'aimait toujours.. C'est donc sans pitié que je pris son âme en le transformant. Il devint, comme moi, un vampire, bien que lui gardait une part d'humanité, il gardait un fond gentil... Ce qui me troublait encore plus: c'est à partir de ce moment là que j'eus deux personnalités, une qui souffrait de tuer, l'autre qui se réjouissait du sang avalé. Je souffrais de le faire souffrir par mon comportement de salope dés que je retrouvais mon humanité. Après un moment je du me résoudre à disparaitre.
Je partis en Europe centrale un moment, en France et dans la méditerrané, m'amusant de l'attention qu'on me portais.
C'est là que je rencontras Gabriel H. Pandore. A cette époque, Gabriel et moi nous étions arrêtés en Italie l'espace d'un fragment de l'éternité. Je venais d'arriver, Gabriel lui était déjà bien connu à Cagliari, la grande ville de Sardaigne. Il était le briseur de cœur, charmeur et mystérieux. J'étais la belle nouvelle qui intriguait. J'avais été invité à l'une des grandes fêtes de la ville pour la première fois, à peine deux jours après mon arrivé. C'était le genre de soirée où l'on ne trouvait que des personnes admirées, que ce soit par leur richesse ou leur beauté. Et évidemment Gabriel y était, il en était déjà habitué. Toute les filles, sans exception, gravitait autour du jeune homme, abandonnant leur mari respectif, qui eux en profitait pour reluquer les belles proies. J'étais rentrée la tête haute, un demi sourire aux lèvres. Je venais de se régaler d'un comte -délicieux- et rayonnait de bien-être, plus belle que jamais -ah les bienfaits du sang!-. Je passa à coter de Gabriel et ne le remarqua même pas.. Pas un regard, comme si je n'étais pas attirée par lui... Gabriel laissa les groupes de filles aux sourires béats après un bref sourire qui en ferait craquer plus d'une. Je l'intriguais, je ne tombais pas sous son contrôle... C'était frustrant et ... Excitant. Comme un défi qu'on relevait avec hargne. Il avait essayer de me séduire, comme rarement il en avait eu besoin, et j'étais peu à peu tombée sous son charme. Une semaine plus tard, une nuit de printemps, je craqua sous sous regard bestial, le jeu commençait. A peine m'étais-je donnée à Gabriel, il avait arrêter d'essayer de me séduire. C'était maintenant moi qui le désirais, qui aimais le mystère qui l'entourait, l'explosion qui animait son être... Peu plus tard il commença à m'ignorer, j'étais sous son charme, comme les autres, je n'avais plus d'intérêt... Mais je le voulais, je ne supportais pas que ce soit moi qui soit rejetée. J'utilisais mon pouvoir de séduction pour relever à mon tour le défi et je réussis également. Gabriel fut séduit et se réinterressa à moi... Et cette fois ce fut à mon tour de le rejeter ... Et tout recommençait, comme un cercle vicieux. Nous étions les même, manipulateurs... Nous nous ressemblions trop à vrai dire,nous voulions ce que nous n'avions pas. Après un peu plus de deux mois de ce jeu dangereux -qui était devenue l'attraction principale de la ville- je du m'enfuir, trop longtemps au même endroit...J'avais un peu exagérer en me nourrissant de bon nombre de personnages importants, je devais maintenant me mettre à l'abri. Je pensais Gabriel humain, je m'étais donc beaucoup nourrie pour éviter de m'attaquer à lui et je ne pouvais pas lui dire la raison de mon départ, je disparu donc un soir, en laissant sur l'oreiller un simple bout de papier : " C'était un jeu délicieux ".
Peu après je rencontrais Melene Forbes, une vampire qui est désormais une grande amie mais qui ne la pas toujours été…
J’étais alors dans un clan bien différent de ceux que l’on voit courir nos rues désormais, nous étions des défendeurs de notre race, des souleveurs du darwinisme social: notre maxime était que nous, vampires, étions les plus forts et les plus adaptés. Qu’il était donc logique que les humains soient nos esclaves, nos simples garde-manger. Nous détruisions tout les endroits par lesquels nous passions, de l’Italie au Mexique, en passant par la Roumanie, nous tuons et faisions régner la terreur. Nous avions notre arme secrète: une certaine Lya qui avait un pouvoir de séduction tel qu’il s’était transformé en don de persuasion avec le temps. J’avais un véritable adulation pour ce vampire de 700 ans qui était aussi la chef de notre clan. Elle m’a beaucoup appris mais pas toujours de bonnes choses, c’est d’ailleurs Melene Forbesqui m’a aider à m’en rendre compte, mais nous n’y sommes pas encore.
J’étais donc dans ce clan avec un certain Raphaël, une certain Anya, un certain James et deux vampires plus jeune dont je n’arrives pas à me souvenir. J’aimais leur compagnie, c’était des gens durs, qui avait vu la vie et la mort à maintes reprises et dans les yeux de maintes personnes. J’étais passionné par les histoires d’autres époques de Lya, par le tours de James (qui pratiquait la lévitation), par le histoire de cœur de la sensible Anya et , surtout, par les yeux ténébreux de Raphaël. Et le fait d’arriver dans une ville, de boire le sang de tous sans se faire prier, de ressortir frais et pas le moins du monde ennuyer, l’humain restant à chérir le souvenir persuadé qu’il le voulait, qu’il a aimé et qu’il ne veut le dire à personne ou lorsque l’on était sympa, il oubliait.
Forget disait alors Lya de la voix qu’elle utilisait pour se faire obéir.
L’on essayait de ne pas trop tuer, deux par villes, parfois un peu plus si nous nous trouvions dans une métropole influente. On profitait de toutes nos compétences, on s’amusait…De toute les manières possibles, tant vampiriques qu’humaine.
Mais au bout d’un temps la prudence retombait, nous buvions plus, nous tuions plus, aveuglés par la soif de pouvoir. Lya fut bientôt trop lasse d’utiliser son don et nous nous fîmes de plus en plus remarquer. Nous étions contents que le gouvernement déguise cela en épidemie mais aussi très inquiets: qu’est-ce qu’ils préparaient pour contre attaquer? C’est à ce moment là que nous fûmes attaqués par des tonnes de clans, de vampires mais aussi d’autres créatures. En faite nous nous étions fait comme ennemis tout ceux qui voulaient être tranquilles et ils n’avaient qu’une idée en tête: nous éliminer. Compréhensible ceci dit: je ferais de même si des vampires venaient mettre le bordel dans la ville où je me suis installée… Enfin soit, nous étions un clan très puissant mais les attaques étaient trop fréquentes et fortes, nous perdions même nos deux plus jeunes vampires lors des combats. Folle d’inquiétude pour ma famille, j’avais alors supplier mon clan de se calmer, d’abandonner l’idée de conquérir le monde, de se contenter de l’ombre. Mais personne ne se rangeait de mon cotés. Je ne voulais pas partir, je ne voulais pas me séparer d’eux. De plus Lya avait utiliser son don pour tous nous persuader que les vampires -hors de notre clan- étaient tous végétariens et il était pas question que j’abandonnes le plaisir, la satisfaction, que me procurait le fait d’arracher la vie en aspirant le sang.
C’est lorsque nous rencontrâmes le clan Vasilis que tout changea pour moi: ils étaient nombreux, je sentais ma famille en péril, poussée par ma détermination et mon courage, j’allais dans leur repère pour les trouver, la veille du jour du combat.
Il n’y avait personne de présent…Sauf Melene Forbes qui était la seule qui n’étais pas partie se nourrir. Elle sursauta -très assez drôle pour un vampire- quand j’entrais dans la pièce, le regard froid et décidé. Elle se mit en position d’attaque mais je la rassurais d’une main levée.
- Je ne viens pas pour avancer la bataille, mais pour l’évitée. Dis-je alors à la tête blonde qui me toisait.
Elle parut se relaxer un peu mais me gardait toujours à l’œil , m’encourageant à continuer avec un signe de tête. Je continuais, poussé par le nouvel élan d’espoir:
- Nous avons déjà perdu deux membres, je ne veux pas plus de dégâts… Je sais que vous devez avoir du mal à concevoir que nous buvons du sang humains mais c’est notre nature vous devez…
- Une seconde. De quoi parlez-vous? Nous buvons du sang humain également et ce n’est pas la question… m’interrompit-elle d’une voix hésitante et troublée.
- Ha bon?! m’exclamais-je, étonnée. Alors nous sommes deux clans carnivores? Génial! Je croyais qu’il n’y avait que des végétariens…
- Non, nous sommes un clan mix mais je ne comprends pas… Ce sont les végétariens qui sont rare, la plupart des vampires sont sanguinaire.
Elle m’a expliquer la vie avec ces centaines d’années de découverte et je l’écoutais, passionné et révolté. Je ne comprenais pas pourquoi Lya avait mentit… Après cette discussion je promis de calmer les miens et que nous partirons. Un pact fut scellé.
Lorsque j’eus expliquer la situation aux membres de mon clan, ils acceptèrent de se calmer un peu, d’être plus discret mais de continuer à s’amuser. J’approuvais cette démarche, désormais je les saurais en sécurité… Cependant je n’allais pas avec eux, le faite d’avoir été si fermé au monde pendant ces années m’avait chamboulée, je voulais que ça change. Je voulais vivre sans le doute d’être persuader de tout et de rien par quelqu’un de si proche. J’en voulais énormément à Lya et je pris la route.
Depuis j’ai vécu mon existence vampirique comme je l’avais commencer, dans le sang et la souffrance, dans mon plaisir et mon jeux dangereux, seule mais toujours entourée. Puis je suis revenue près de Londres, je me suis retrouvé à Everstown. Je cherchais peut-être des souvenirs, peut-être que je cherchais la paix..Je l’ignores mais j’y ai retrouvé Stefen. Nous nous sommes liés avec les Blackwood et Damon, nous montions en puissance et devenions un clan. C’est toujours pareil avec Stefen depuis, liés comme des aimants mais incompatible, l’on s’efforce de rester loin sans pouvoir toujours résister. J’essaye, et je suppose qu’il l’a remarquer, de passer le moins de temps avec lui mais le hasard ne fait pas toujours bien les choses… Je cherche le recul sans pouvoir me faire à la solitude, j’aime trop être entourée, charmer, mais j’ai aussi un profond malaise. Non seulement avec Stefen mais aussi avec ce Damon, peut-être que c’est juste mon imagination mais…Il semble m’éviter, cela m’insupporte, je déteste être repoussé… Ce n’est pas dans mes habitudes… De plus dernièrement j’ai l’impression que Stefen me cache quelque chose ou…Quelqu’un? Il aurait quelqu’un en vue? Je suis d’un tempérament très jalouse alors j’espère bien que non. Je compte bien m’être tout cela au clair, ces deux vampires, loin d’être ami, m’obsède par le mystère qui semble les entourer…Et m’éloigner…
Everstown, je compte bien rester, bien résoudre tes mystères, et surtout, bien m’abreuver de tes ressources!
Il parait que l'habit ne fait pas le moine

J’aime usez de mes charmes, et je n’ai pas nécessairement besoin de faire des efforts car je suis naturellement (ou plutôt vampiriquement) attirante, tentatrice et manipulatrice. Pas besoin de plus! J’aime m’habiller en moulant et léger pour mettre en valeur ma silhouette fine et élancée et bien souligné mes atouts bien proportionné. Cependant je ne suis jamais vulgaire, je garde toujours un style qui met en valeur sans dévêtir, question de principes et surtout de pratique, cela rend encore plus fou les hommes que je désigne comme victime. J’aime porter des couleurs sombres qui mettent mon teint blanc et parfait en valeur, et qui font encore plus ressortir mes yeux d’un bleu sombre et profond. J’aime jouer avec les look contemporains et plus anciens, de toute façons tout me va! J’ai des cheveux long et bruns, si fins qu’ils semblent en apesanteur lorsque le vent souffle et caresse mon visage. J’ai les traits fins reconnaissables aux vampires, qui me donne cette beauté presque irréelle. J’ai la peau dure mais avec un aspect qui prête à la croire fragile et fine, j’ai de longs cils et des lèvres bombés sans l’être trop. J’ai une démarche souple et légère qui semble me donner des ailes et des dents blanches qui rendent mon sourire resplendissant, comme pour tout vampires. Cependant même si j’ai la beauté vampirique, j’ai aussi les changements du par la soif, l’émotion forte ou la présence de sang. En effet dans ces cas-là, des cernes apparaissent sous mes yeux, donnant un air de cadavre à mon visage de porcelaine, mes yeux sont injectés de sang, mon regard devenant alors menaçant et terrifiant et enfin des crocs poussent et grandissent, près à l’assaut.
Tout ce que vous ne pouvez pas voir
Ce que je suis, à l'intérieur : Il est toujours de se donner des étiquettes, de se qualifier. Psychologique comme physiquement. Après tout nous somme, non pas humain…, mais vivants (ou plus ou moins), nous sommes donc complexes et changeants. Nous pouvons être adorable, tout comme nous pouvons être désagréable, cette dernière possibilité n‘est pas forcément par rapport aux personnes que l‘on aime le moins…bien au contraire. Tout le monde à donc des défauts et des qualités qui ne sont pas toujours autant présentes à chaque instants. Moi encore plus précisément: en effet c’est comme si j’avais deux personnalités qui se confrontent. L’humanité, la sensibilité et la douceur, m’ont abandonné lors de ma transformation mais pas complètement, parfois celle-ci ressurgit en moi, avec , parfois, brutalité et force. Mais sinon je restes un vampire, une prédatrice. Je suis dangereuse et fière de l’être. En faite, si l’on changeait le sang en vin, je serais une véritable alcoolique. J’aime tuer mais par-dessus tout j’aime charmer mes v victimes. J’aime les attirer dans mes filets, j’aime me délecter de leur amour, avant de me délecter de leur nectar. J’aime manipuler et calculer pour mieux tenter. J’aime aussi le jeux, j’aime joué au ‘je t’aime, moi non plus’, j’aime jouer avec ma vie, j’aime jouer par compétition. Ca donne une pointe d’humanité dans mes activités d’immortelle.

Relations:
Stefen Prince: C'est comme si se retrouver était inévitable...Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayer! Il fait ressurgir mon coter humain, il me fait souffrir, je me défends avec mon coter vampires, et je le fais souffrir. C'est inévitable et destructeur....Mais nous semblons toujours liés et je n'arrives toujours pas à me défaire définitivement de lui... Surtout lorsqu'il semble me cacher quelque chose!
Sarah Thomson: Je ne l'ai jamais rencontrer, j'ignores pour l'instant qui elle est. Mais comme vais-je réagir en apprennant qu'elle est, pour ainsi dire, une futur conquête de Stefen? Je suis possessive et jalouse, pas énormément mais...Comem un vampire se doit de l'être quoi! Bref, vaut mieux pas qu'elle me croise celle-là!
Ornella Andreani: La relation? Difficile de dire, en réalité ce n'est pas une amie...Ni une ennemie. Elle est chef de son clan et j'aime protégé le mien. Nous avons donc chacune une bonne raison pour rester en bonne entente, afin de nous serez les coudes en cas de problèmes, de menaces.
Damon Knighton: C'est celui qui m'a transformé, mais je l'ignores encore. Comment vais-je réagir si je l'apprend? La part de moi cruelle serait peut-être reconnaissante mais...L'autre? Mon humanité, mes regrets... Il est le cause de tout mes soucis, de mon mal-être. Je veux savoir ce qu'il me cache, je veux percer sa coquille, ....Je suis joueuse et Damon Knighton est mon défi. Et je suis très mauvaise perdante...

Autre : J'ai une sorte de déboublement de la personnalité, je tentes toujours 'd'éteindre' mon humanité, la douleur des regrets, mais parfois cette partie de moi ressurgit...Avec force et douleur...
Derrière l'écran

    Prénom/Surnom: Lau' , Evil Moose, L'ex Alice...
    Votre âge: 16ans
    Localisation: Belgiiium!
    Fille ou Garçon ? Girl
    Comment avez-vous connu le forum ? Mdr, je dois répondre?
    Un commentaire ou une remarque à faire ? Oui, je tiens a m'excuser de mon absence prolongée, j'ai eu une période de 'dégout du rpg' et je m'en excuse. Je crois d'ailleurs que je suis toujours bof bof pour l'instant, mais je m'y remets parce que lorsque j'ai vu ce pv... Mama mia! J'adore. Enfin bref, je m'excuse vraiment et je suis vraiment à frapper. Bref, faites comme-ci j'étais un membre normal et ne me frapper pas trop fort x)
    Code du règlement : Ok by Kay
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Dernière édition par Katherine H. Bailey le Sam 22 Jan - 17:57, édité 13 fois
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Katherine H. Bailey Vide
MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 19:21

Kyaaaaaaaa Lauuuuu! =D

Bienvenue ici! =D Vraiment contente de te retrouver, on te croyais morte ou exilée je sais pas où! lol En tout cas bonne continuation pour ta fiche! =D Beuzous! :cop:
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Katherine H. Bailey Vide
MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 19:23

Bienvenue parmi nous et bon retour !!!!!!!
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 19:29

Merci à vous Smile ♥️
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 20:23

Hey bienvenue Lau.

Je sens que ce perso sera intéressant à jouer et que tu nous l'interprètera à merveille.
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 21:55

Bienvenue!!
Fight pour ta fiche!!

Amuse toi bien!
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyMar 29 Juin - 21:56

Bonne continuation et bienvenue =DD
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyVen 2 Juil - 22:55

FINI! 8D Je me suis empêché de trop écrire ^^
Dites moi vite ce qui cloche, que j'y remédie Razz
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyVen 2 Juil - 23:00

=DDD J'aime la manière que tu as écris notre lien XD *sort*
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptyVen 2 Juil - 23:31

welcome je suis dingue de ton vava
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptySam 3 Juil - 10:22

Coucou, Kate ! =D

Ravie de voir que tu as terminé ta ficheuh! =D Pour moi c'est nickel ! J'adore! *____* Je vais donc sans plus attendre procéder à ta validation. :dance: Avant de commencer à jouer, voici un certain nombre de petites choses que nous te conseillons vivement de faire:
  • La première, serait d'aller consulter la partie [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] et d'en compléter les champs décrivant ton personnage. C’est avec ces dernières que les autres membres apprendront à te connaitre sans pour autant avoir à relire toute ta présentation. ;-)

  • Deuxièmement, avant de te lancer dans le RPG, il serait préférable que tu jettes un œil sur ces quelques lignes. L'[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] t'aidera à mieux comprendre chaque type de créatures présentes sur le forum. Il faut savoir que les créatures que nous avons sur ce forum, ne sont pas forcement semblables à celles que l'on connait habituellement. Wink De la même manière, et lus généralement, la partie [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] est là pour t'aider et te guider dans l'utilisation du forum.

  • Et enfin, il serait bien que tu créés ta « Fiche de Gestion » qui te permettra d'augmenter les relations de ton personnage, ainsi que de gérer tes sujets en cours, ceux à venir, etc... Plutôt pratique, non? ^^

  • Si face à tout cela, tu te sens un peu perdu(e), que tu ne sais pas où aller, que faire et comment te débrouiller pour te faire des connaissance, le Parrainage est fait pour toi! Clique [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] pour en savoir plus et obtenir un Parrain/Marraine, qui t'aidera de son mieux, pour tout ce qui concerne le forum!
Il me semble avoir tout dit. ^^ Avant de te laisser filer et commencer à jouer, je te rappelle simplement que la zone « [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] » est là pour te permettre d’améliorer et d’entretenir les aspects « externes » de ton personnage, et la zone « [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] » t’expliquera quelles sont les grandes intrigues du moment sur le forum. N'hésite pas à consulter régulièrement cette dernière zone afin de pouvoir intégrer ton personnage à l'intrigue! ;-)

Si jamais un détail t’échappe, sache que nous sommes là pour t’aider, et que l’Equipe se fera un plaisir de t’orienter pour que surfer sur ce forum devienne pour toi, chaque jour, plus agréable! Je n’ai qu’une dernière chose à dire:

Amuse toi bien, et n’hésite pas en cas de soucis ! ^^ Bonne continuation !
'Leigh H.
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MessageSujet: Re: Katherine H. Bailey   Katherine H. Bailey EmptySam 3 Juil - 10:38

Dada (c'est toi qui m'a contaminé!) => Mdr Razz
Grace => Merchii <3
'Leight => Hoo chouette Very Happy Je vais de suite faire tout ce qu'il est marquer Razz

:kiss:

PS HS= Et Ode tu as écrit 100 messages tout rond Very Happy!
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