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 Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]

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Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] Vide
MessageSujet: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] EmptyJeu 30 Déc - 21:37

[HJ: excuse moi j'étais pas très inspirée Razz je me rattrape la prochaine fois promis !]

"Grand mère je le range où le savon vaisselle ?
-Le quoi ?
-Le savon Vaisselle !
-Tu veux dire le liquide vaisselle ?
-Ah... Oui c'est ça
-Sous l'évier à gauche ma puce.
-Mercii"

Je posais le savo...liquide vaisselle sous l'évier. J'aime pas faire la vaisselle, j'aime pas non plus passer l'aspirateur, ni faire la poussière. Pourtant je venais de nettoyer la maison de fond en comble de 5h à 9h du matin, youhou !Je regardais le salon, brillant, le piano reflétait la lumière de la fenêtre, la table était étincelante . Tout était propre, on aurait pu croire qu'une maniaque était passé là, mais je vous le répète je déteste nettoyer. N'essayez même pas de comprendre,moi-même j'ai arrêté. Je montais dans ma chambre qui sentait le savon pour meuble, je doute que ça se dise comme ça.... Pas grave !

Désirant une ambiance calme je fermais les rideaux, qui était devenue rouge et pas marron comme je les aie toujours connues. Ils laissaient entrer la lumière mais les rayons du soleil ne frappaient plus sur le petit miroir d'enface. Je m'installais sur mon lit et prenais un livre, Dracula on doit le lire pour les cours. Je n'aime pas ce livre, je sais que ça va en faire rire quelques-uns mais il me fait peur. Oui une Vampirette qui bois du sang humain, qui pourrait être considéré comme une tueuse en série, a peur de Dracula, oui et alors hein !Et pourtant je continuais de lire le livre, frissonnant parfois, à la fin du livre, j'étais heureuse. Je m'empressais de répondre aux questions comme ça je serais débarrassée de ce livre horrible selon moi.
J'arrivais dans le jardin, vaste, il se perd dans la forêt, il y a beaucoup d'herbe et quelques fleurs en bordure de la maison. Il y a aussi une balançoire où je m'installe pour regarder les étoiles la nuit, mais surtout ce que je venais chercher dans le jardin c'était Hélène, ma grand-mère.
"Dit Hélène on fait quelque chose cette aprèm' ?
-Ooh ma chérie je suis désolé, tu te souviens de Marie ?Mon amie du supermarché, et bien elle m'a invité je dois y aller à quatre heures. Mais toi tu pourrais aller faire un tour à la fête foraine non ?Il parait qu'il y a plein de bonnes choses à manger !"


Pendant une seconde je me suis demandé de quelle nourriture elle parlait... de bonne chose à manger, pour moi ou pour les humains ?Mais je secouais la tête comme pour chasser cette pensée, elle parlait sûrement de barbapapa, glace et autre truc du genre. Elle insista pour que j'y aille, après tout juste un tour me ferait pas de mal. J'accompagnais Hélène jusque chez son amie, j'ai toujours peur, comme nous passons souvent par la forêt qu'un vampire la prenne pour déjeuner. Pour me rassurer je ne la laisse jamais sortir seul. Sa copine me certifia qu'elle la ramènerait en voiture, que je n'avais pas à m'en faire. J'espère.

De retour à la maison je m'installais sur la balançoire, chantant tranquillement. Je trouve ça agréable, le vent qui s'infiltre dans ma robe, mes cheveux qui suivent le mouvement gracieusement. J'ai l'impression d'atteindre le ciel, me prenant au jeu je lâchais la balançoire et tendais les mains, comme pour attraper l'air frais du matin. Je continu ainsi longtemps, fermant les yeux, répétant la même mélodie. Je n'avais pas envie que ça s'arrête, mais mon seul et unique voisin me guettait depuis la fenêtre, un vieux, qui m'a vu un jour me nourrir. Maintenant il se demande s'il a rêvé ou pas, alors tous les matins sous son regard je prends un petit déjeuné faisant mime de ne pas le voir, je fais la même chose au déjeuner et pour le diner seulement en été. Tant qu'il ne dit rien sa me va, au pire tout le monde le prendrait pour un fou, mais si cela arrive aux oreilles des humains armée je suis morte. Bref, telle une enfant modèle je vais prendre une salade, je tire une chaise sur la terrasse et mange, comme la plus équilibré des enfants. Ayant enfin fini ma salade, qui soit dit en passant avait un gout étrange, peut être le fromage, je fis un "salut" de la main à mon voisin. Effrayé il referma ses rideaux. J'aime m'entendre avec les gens, ça m'embête qu'il me détesteainsi. Je pourrais très bien me couper de toutes émotions, mais je n'ai jamais réussi puisque mon don/capacité étrange/ malédiction, appelez ça comme vousvouliez, fais que je ressens toutes les émotions de tout le monde rien que par un contact physique.

De ce faits je ne deteste pas les humains, c'est comme si j'étais eux, et que j'étais cannibale. Crédible comme excuse... Bref après avoir englouti cette salade, et avoirfait fuir mon voisin, je me décidais à aller manger, pour de vrai cette fois. Je regardais ma robe, de toute façon on avait du savon habits, je ne pense pas que ça s'appelle comme ça non plus. Faudrait que je fasse une liste, mais la je m'égare. J'enfilais des petites ballerines, je ressemblais maintenant à... Tout sauf un danger. Parfait en quelque sorte.

Je laissais mes sens chercher du sang humain, j'ai du attendre quelque minutes pour trouver enfin quelqu'un. Je me perchais en haut d'un arbre pour l'écouter, il était au téléphonne... Avec sa femme, il lui jurait n'avoir jamais vue une femme portant le nom de Sophia. Un homme infidèle ?Parfait j'aurais moins de remord !
Je laissais mes sens chercher du sang humain, j'ai dû attendre quelquesminutes pour trouver enfin quelqu'un. Je me perchais en haut d'un arbre pour l'écouter, il était au téléphone... Avec sa femme, il lui jurait n'avoir jamais vu une femme portant le nom de Sophia. Un homme infidèle ?Parfait j'aurais moins deremords ! 
Non c'est faux j'avais déjà le coeur en pièce de devoir l'achever, mais mon cerveau lui me hurlait de me jeter sur cet homme, mon ventre aussi. Ma gorge brulait déjà, je me mettais donc en travers du chemin de cet humain. Il parutsurpris puis attendrit, il me demanda si j'étais perdu, ne disant rien je m'approchais rapidement de lui, un peu trop car il sentit le danger. Il retint sa respiration, et s'agrippa à mon poigné, je fus envahi par un flot de sentiments, il avait peur,  il regrettait beaucoup de choses. Je le repoussais, je devais le tuer oui, mais sans le toucher ou presque. Mon visage se déforma, mes canines s'allongèrent, trop tard pour lui, il était au sol en deux secondes j'étais sur lui, je sentais son souffle s'accélérer. Fermant les yeux je plantais mes dents dans son coup, c'était si bon !Et pourtant je souffrais presque autant que lui.

Je me débarrassais de son corps et rentrais chez moi, tacher de sang bien sur. Je mettais mes affaires à laver et me dirigeais dans ma chambre. En deux minutes j'avais trouvé des habits, je les avais pris au pif, un short en jean et un haut noir. Pour une fête foraine c'était parfait !Je laissais mes cheveux détachés, enfilais des tongs et prenais mon porte-monnaie que je glissais dans ma poche. J'avais de quoi nourrir tout le village de glace. Arrivée là-bas ce fut, disons le stress, en faisant la queue pour un manège, une espèce de roue géante, je réfléchissais, qui pourrais-je abordé ?J'aurais aimé m'adresser à des adultes mais étant bloqué dans le corps d'une enfant de 14 ans, les gens allaient me prendre pour une... gosse. Les enfants ? Trop jeune les parents me ferait pas confiance, cela réduisait mon champ aux enfants de 8 à 18 ans. Rassuré par ce petit... Coach personnel je prenais un ticket, mince y avait personne dedans !Mais heureusement le... le... celui qui fait rentrer les gens là ! Comment il s'appelle ? Bon vous m'avez compris, ce monsieur fit rentrer une petite fille avec moi, elle étaitpetite, avait de longs cheveux bruns et une bouille à croquer. Elle avait la tête de la petite fille ouverte à tout le monde, parfait !


Dernière édition par Swann Weaver le Dim 16 Jan - 16:25, édité 2 fois
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Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] Vide
MessageSujet: Re: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] EmptySam 15 Jan - 23:46

[ Pardon pour le retard ! ]

    Le vent fit voler mes cheveux. Depuis à peu près deux heures et quarante-trois minutes, je me promenais le long de la plage. Ecoutant le son des vagues qui s’écrasaient violemment sur le sable, celui des oiseaux, pour le peu qu’ils étaient, se chamailler pour des brindilles. Contemplant le vaste ciel qui s’offrait à moi. Etudiant l’odeur du sel qui me picotait les narines. Sentant le vent s’infiltrer dans la robe claire qui j’avais enfilé en vitesse pour aller dehors. Pour un humain, ces presque trois heures de marche auraient pu être agréablement parfaites si l’atmosphère n’avait pas été si menaçante. Délicieusement menaçante. J’aurais très bien pu aller beaucoup plus vite, mais cette fois j’avais eu envie de trainer un peu. De toute façon je n’étais attendue nulle part. Le peu de gens que j’avais croisé sur le chemin avait tout de même de la chance car je n’avais pas faim pour une fois. Mais en y réfléchissant, cet endroit n’était pas trop mal pour chasser. Bien qu’il faille de la chance pour y croiser quelqu’un. C’était un endroit calme, dépourvu de foule et plutôt agréable. Enfin en tant que personne qui ne ressent pas tellement le vent glacial qui s’immisce dans ses vêtements afin de lui donner l’impression de se faire mutiler le corps. Je soupirai. Durant tout le chemin, j’avais pensé à ma vie. Enfin, mon ancienne vie. Qu’avaient bien pu devenir mes parents ? Aujourd’hui ils étaient morts j’en étais certaine puisque sinon ils auraient dépassé le stade de centenaire ce qui était impossible. Mais comment étaient-ils mors ? Est-ce qu’ils l’avaient été bien avant que moi je le sois ? Ou si je m’y étais prise plus tôt j’aurais surement pu partir à leur recherche, aller les sauver ! S’ils avaient survécu après la guerre, est-ce qu’ils étaient partis à ma recherche ? Au fond je m’en voulais atrocement. Avant je ne comprenais pas mais maintenant je me retiens sans arrêt d’acheter toutes les vidéos existantes concernant la deuxième guerre mondiale pour espérer y voir quelque part mes parents. Vivants. Mais à quoi bon, je ne me souvenais même plus de leurs visages. Pourtant une petite lueur d’espoir au fond de moi me disait que si je les voyais, je les reconnaitrais. Et puis ma grand-mère. Elle était morte presque devant moi et je ne pouvais même pas dire ce qu’était devenu son corps. J’étais parti trop tôt. Je l’avais abandonnée alors que peut-être elle n’était pas morte sur le coup et que j’aurais pu la sauver elle aussi. Ou lui tenir la main jusqu’à son dernier souffle. Je serrai les poings et laissai couler une larme le long de ma joue. Même sa maison, celle dans laquelle j’ai vécu pendant plusieurs années je ne sais pas non plus ce qu’elle est aujourd’hui. A-t-elle été démolie ? Conservée ? Vendue ? Même ça je ne le savais pas ! La petite maison de campagne dans laquelle j’avais eu de nombreux souvenirs heureux avec ma grand-mère, l’arbre dans le pré auquel je m’adossais pour écrire dans mon journal. Qu’étaient-ils devenus ? Peut-être que je pourrais demander un jour à Maman de m’emmener en France pour que je puisse revoir la maison. Avec un peu de chance, elle était toujours là. Mais c’était un peu déplacé.. lui demander de me ramener vers mon ancienne vie, celle dont elle m’avait arrachée. Enfin non, je ne pouvais pas lui en vouloir. Il en était hors de question. Si elle n’avait pas été là je serais morte et fin de l’histoire. Alors qu’elle m’a offert une deuxième longue vie de bonheur et avec une vraie -ou en quelque sorte- famille. Oui, je ne veux pas lui en vouloir parce que je l’aime. J’essuyais les quelque larmes qui avaient commencé à sécher sur ma peau et soupirai. Je devais me reprendre et sourire. Me remettant tout doucement de mes émotions, je pris le temps de me reconcentrer sur mes sens. Au loin, j’entendais de rires et de la musique. Je tournai la tête pour apercevoir la fête foraine. Pour y aller il me suffirait de courir quelques minutes bien qu’elle soit à plusieurs kilomètres. Et puis j’avais besoin de me changer les idées. Avant de m’élancer, j’ouvris le petit sac qui ne m’avait pas quitté jusque là. Je le gardais tout le temps avec moi pour y transporter des livres ou autres petites choses de passage. Mais j’y glissais toujours des muffins pour m’aider à me retenir de sauter sur tout le monde au cas où j’ai très faim. Manger apaisait les brulures de ma gorge. J’en choisis un et en pris une bouchée pour enfin m’élancer.

    Je me doute que ce doit être évident mais mon dieu qu’est-ce que c’était bruyant ici ! Il n’était pas question que je sonde les environs à moins que je ne m’explose la tête. Mangeant un énième muffin, je me tortillais sur moi-même à la recherche d’une attraction « normale » enfin … reposante, voilà c’est le mot que je cherchais. Certes j’avais besoin de me changer les idées mais ce n’est pas pour autant que je voulais vraiment me faire très mal à la tête. Enfin ce n’était pas seulement pour ça que je ne voulais pas faire d’attraction à sensation. C’était surtout que … dut à ma petite taille, ils ne me laissaient jamais entrer … Je détournai le regard de la foule pour chasser ses pensées et aussi afin de contempler le ciel. Le soleil se couchait. Il avait déjà l’air emmitouflé dans ses couvertures de nuages, près à faire une longue sieste. J’étais contente que la lumière qu’il générait ne soit pas aussi éclatante que celle de l’autre matin. Qu’est-ce que ça m’avait fait mal aux yeux. Bon .. revenons à nos moutons. Je devais trouver une attraction. Je m’apprêtais à balayer les alentours du regard quand je vis non loin de là la grande roue qui tournait lentement. Pourquoi ne l’avais-je pas vue plus tôt ? Ah oui, j’étais dos à elle tout à l’heure. Rhoo ! Je suis vraiment nunuche des fois ! Heureusement que Damon n’était pas là ou j’aurais eu droit à une petite réflexion mesquine !

    Parfois je ne comprends vraiment pas la logique humaine. Qu’est-ce que c’était long de faire la queue comme ça ! Et puis ce n’est qu’au dernier moment que j’avais réalisé que je n’avais pas d’argent sur moi. Tant pis, je comptais bien m’amuser ce soir. Le vendeur de ticket n’était pas loin. Il fallait que je l’évite. Je me baissai –bien que je sois déjà assez petite, merci de me le rappeler- et me mit à courir assez vite pour que quelqu’un d’humain ne puisse voir qu’une petite masse noir passer du coin de l’œil. De cette façon, je pu passer juste sous le nez du vendeur. Trop facile. Je n’avais juste pas prévu que les tickets serviraient à quelque chose. Un homme attendait près de l’entrée du manège, prêt à réceptionner les tickets que les gens lui donnaient et même à les demander s’il le fallait. Je m’approchai donc de lui. En préparant mon air triste et penaud. Puis préparai quelque larmes au cas où.

      GaëlleMonsieur, je … j’ai perdu mon ticket et mes parents m’attendent à la sortie. Je … Je fis mine d’hoqueter tout le long et fondit en larme. Enfin, il devait manquer quelque chose … ah oui ! Je me mis à brailler des paroles incompréhensibles.


      HommeOh … ne t’inquiète pas. Arrête de pleurer s’il te plait. Tout va bien se passer, je vais faire une exception pour cette fois. Contente-toi de monter dans le manège.


    Mission accompli. Je reniflai un peu en partant. Voilà, c’était parfait ! Je partis m’asseoir sur la petite banquette attendant que la grande roue démarre. Je souriais. Juste comme ça pour moi-même. Juste après que je sois assise, une grande fille –oui enfin, elle était grande de mon point de vue- vint s’asseoir à mes cotés sur la banquette. Elle avait l’air un peu .. timide ? Oui ça devait être ça. Elle était jolie aussi, je ne la connaissais pas mais elle me plaisait bien. La grande roue démarra. Bon. Ce soir je devais m’amuser et quand je dis ça, ça ne veut pas dire dans le sens s’amuser comme un vampire, de toute façon je n’avais pas faim. De devais passer un bon moment. Je pris mon sac et me mis à fouiller. Il me restait encore plusieurs muffins. Je jetai un coup d’œil vers elle. Qui avait l’air de .. ne pas savoir où poser les yeux. Enfin je me trompais peut-être. Je reposais mon regard sur les muffins et en pris un dans la main. Bon, il me fallait attirer son attention.

      Gaëlle Tu en veux un ?


    Je devais avoir l’air d’un petit ange comme ça. La main tendue vers elle, un sourire aux lèvres. Il ne me manquait plus que deux petites ailes sur le dos.
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MessageSujet: Re: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] EmptyDim 16 Jan - 16:35

[c'est pas grave prend tout ton temps <3]

La petite fille s'assit en face de moi, je lui souriais ne sachant pas quoi dire... La roue se mit en marche, doucement, trèèèès doucement. Je regardais tranquillement le ciel absorbé dans la contemplation des nuages j'avais complètement oublié que j'étais dans une grande roue avec une petite fille qui devait s'ennuyer. Je reportais mon regard sur son visage, il était rayonnant, avec cette petite touche d'innocence. Même si dans ses yeux il y avait quelque chose de... D'ancien on va dire. Mais je n'yprêtais pas attention, je continuais quelques secondes encore à la détailler, j'aime bien me souvenir exactement des gens que je croise.

-Tu en veux un ?

Je regardais sa main, sortant de mon inspection, elle me tendait un muffin. C'était comme si il y avait eu un rayon de soleil sur elle, sortit de nul part. Je me penchais pour l'attraper.

-Merci beaucoup, c'est gentil !

Je lui souriais jusqu'à ce que ma main effleure la sienne,
je sentis une foule d'émotions, en premier temps de la joie, puis au fond je voyais une plaie béante, triste, pleine de regret. Je sursottais en sentant tout ça d'un coup, prenant le muffin je m'excusais 


-Désolé, un frisson. Je m'appelle Swann et toi ?

J'avais repris un sourire amical et tendre. Comme toujours. Mais je me demandais comment une enfant de 10 ans environ pouvait garder tout ça pour elle, et même comment elle pouvait avoir vécu quelque chose d'aussi marquant ?Mais là sur le coup je gardais ça dans un coin de ma tête, et mordais dans le muffin qui était très bon au passage. Un instant je me demandais si l'excuse du frisson était crédible, mais ce n'est qu'une enfant. 
Le vent s'infiltrait dans nos cheveux, nous étions tout en haut, la ville paraissait si petite. On voyait le ciel s'étendre à des millions de kilomètres, c'était très jolie, magnifique. Je regardais la petite qui regardait elle aussi toute la ville.


-C'est très joli pas vrai ?
Ses grands yeux regardaient toute la ville avec attention. C'est vrai que c'était superbe, je pouvais voir la maison de ma grand-mère et même celle de son amie. Elles étaient en train de prendre le thé dehors, j'aurais voulu hurler pour qu'elle me voie et agiter les mains. Mais même ceux juste en bas de la roue ne m'entendaient pas, alors ça ne servait à rien. Je me contentais de regarder Hélène, puisque même de loin je pouvais très bien la voir, elle riait en finissant detricoter un bonnet gris orné de petit flocon de neige. Je savais qu'elle me ledonnerait en rentrant puisqu'elle adore me faire des habits. 
Je dirigeais mon regard vers la petite fille. Me retournant vers elle je la regardais, elle était plutôt calme pour une enfant de son âge. Je me pris à sourire et à penser que j'aurais voulu avoir une fille comme elle. Mais à mon âge sa se fait plus, et je ne pourrais même pas si je le voulais.

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MessageSujet: Re: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] EmptyJeu 5 Mai - 12:25

Où en est votre rp les filles ?
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MessageSujet: Re: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] EmptyJeu 5 Mai - 15:51

Gaëlle doit répondre mais elle a des problème d'internet à cause d'un orage qui est passé y'a pas longtemps ^^'
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MessageSujet: Re: Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood]   Belle vue du haut de la grande roue[PV: Gaëlle Blackwood] Empty

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